
Café-Citoyen
La Chrysalide est un espace de dialogue et d'échanges sur la société, son bar associatif citoyen est ouvert chaque jour.
Plusieurs fois dans l'année, le 1er vendredi du mois, la Chrysalide vous propose un Café-Citoyen.
Un temps de débats et d'échanges citoyen sur des sujets de société qui nous concernent.
Alors à très bientôt avec Arlette, Marinette, Yannick et Valérie
Et retrouvez ci-dessous toute l'actualité du Café-Citoyen.
Pour vous mettre dans l’ambiance je retiens le Mr Cyclopède de Desproges qui, avec son humour particulier, nous montre qu’il y a des minutes où l’on peut rire de tout, même de la vénus de Milo, célèbre sculpture sans bras, sollicité par le petit prince de Saint Exupéry.
En cliquant sur Monsieur Cyclopède vous verrez une de ces minutes
* Ce lien ci-contre, par contre, est sérieux (lien écrit en blanc sur fond rose) peut-on rire de tout
Ça n’a l’air de rien, mais en fait, ce n’est pas grand-chose “ citation retenue par Louis Rouland (un collègue de travail à moi dans les années 1963-1969) “.
Propos qui n’ont l’air de rien mais bien qu’ils ne vaillent pas grand-chose, j’ai réussi à les replacer au bout de 60 ans.
Le 2 juin prochain étant réservé à l'Assemblée Générale de la Chrysalide je vous propose de reporter au 9 juin le débat prévu
C’est donc un sujet très sérieux qui sera à l’ordre du jour de notre café citoyen du 9 juin prochain à la Chrysalide*
” peut-on rire de tout”.
Compte rendu café citoyen du 7 avril
Nous étions 10 participants lors de notre rencontre
Solenne a présenté le thème de la soirée
”Pourquoi les hommes se font la guerre”.
Dans cette présentation il fut rappelé que ce n’était pas nouveau même si la situation européenne faisait de ce thème un sujet d’actualité.
L’égalité homme femme, rapidement admise montrait qu’il s’agissait, pour le débat, de l’espèce humaine tout entière, au grand soulagement des deux hommes participants à l’échange.
L’instinct de conservation est proche du comportement animal. Cela conduit en cas de pénurie alimentaire à des actes de barbarie qui ne sont pas assimilable aux phénomènes sociaux.
Les idéologies (politique ou religieuses) sont de nature humaine et provoquent des conflits, des combats, des guerres, avec le simple objectif d’imposer son point de vue aux autres.
L’idée bien partagée par les personnes présentes permet de prétendre que les guerres font partie de notre histoire. La parenthèse des quelques décennies de paix sur le territoire de la métropole démontre un phénomène de déni, celui qui fait ignorer ce qui se passe loin de nous. La Yougoslavie, par exemple, était loin de notre quotidien.
La convivialité n'a pas besoin de commentaires particuliers car elle est visible sur les photos de Valérie qui se trouvait de l'autre côté de l'objectif.
Le prochain sujet retenu à l’unanimité contraste avec celui d’avril.
“Peut-on rire de tout”
sera le thème de notre rencontre du vendredi 2 juin 2023


Alain Bauer vient d'écrire un ouvrage "au commencement c'était la guerre" dans lequel il exprime que c'est la paix qui est à voir comme une parenthèse exceptionnelle de notre histoire. un clic sur ce texte renvoi sur l'interview TV de présentation de son ouvrage à C dans l'air



Einstein a laisser entendre (entre'autre) que l'univers pouvait faire penser à l'infini mais aussi que tout était relatif comme on peut le voir en cliquant sur l'image prise en 2004 depuis une navette spatiale

Echanges du 7 Avril 2023
Le thème du prochain débat a fait l'objet, conformément aux échanges du 18 novembre 2022, (proposition et vote par voie internet ou dépôt direct de document à l'association).
Parmi les thèmes proposés, celui qui a été retenu "Pourquoi les hommes se font la guerre" sera présenté par Solenne qui a été avec Marie Lise l’une des rares à faire une proposition.
L'accueil est prévue comme d'habitude à partir de 19 heures 30mn et la participation gustative et conviviale sera au programme
Retour de notre rencontre du 18 novembre 2022
Le débat a montré que communiquer était très difficile et sources d'interprétations erronées. Faire le résumé de ces échanges semble très prétentieux, mais comme le dit Bernard Werber, devant les difficultés de communiquer, “essayons quand même”
Nous étions neuf participants (les photos ne prêtent le flan à la confusion (on est là ou pas).
Les débats furent animés et les partages fructueux.
Les concepts d’entendre et écouter, c’est comme regarder et voir ce compte rendu, des faits différents. Regarder ou écouter s’appuie sur des actions. Pour entendre ou voir sont des actes passifs dont le résultat peut être faible, parfois nul.
A titre d’exemple agir pour “bénir, déclarer, parier, s’engager, complimenter, ordonner, nommer, accepter mais aussi refuser, insulter, maudire” sont des initiatives de communication pour transmettre des infos valables dans les deux sens
Indépendamment des gestes volontaires (non-dit – mensonge -prosélytisme ou propagande –volonté de tromper) le fait de faire passer une idée basique se heurte aux principes de réalités distinctes. (Jargons professionnels, connaissance de l’internet, sigles, âges par exemple)
Parmi les marges de progrès proposés le fait de reformuler, apprendre à écouter (pause pub pour le café citoyen) oser demander des précisions, faire attention à l'intonation où à la ponctuation (surtout s’il s’agit d’une élocution verbale).
Je ne résiste pas au plaisir de citer l’exemple (non exprimé lors du débat) des lapins et de la virgule.
"Les lapins étaient sortis dès qu'on leur avait ouvert la porte". Un changement d'orthographe s’impose si on pose une virgule après sortis, soit "Les lapins étaient sortis, des … leur avaient ouvert la porte.”





La prochaine rencontre du café citoyen est programmée pour le 18 novembre entre19h 45 et 22 heures dans les nouveaux locaux de la Chrysalide.
Les organisateurs (Arlette, Marinette, Valérie et Yannick) se sont réunis pour décider démocratiquement d'imposer le thème suivant
“Avoir un débat sur les difficultés liées à la communication est-ce une aventure comme une autre ou pas ?”
Cte rendu de notre rencontre du 3 juin 2022
Nous étions dix participants à cette soirée citoyenne, conviviale et nourrissante (au sens propre et figuré). Le débat induit par la question
“Peut-on percevoir l’autre sans le mettre dans une catégorie?, ce qui est en soi discriminant”.
fut présenté par Marie Lise qui a fait remarquer dès le début que tout être humain ne pouvait vivre sans catégoriser ce qu’il avait en face de lui (un prédateur pour l’homme et un agneau ne sont pas dans la même catégorie)
La discrimination est un acte et il y a discrimination lorsque quelqu’un agit selon ses croyances pleines de préjugés.
De nombreux exemples de préjugés et les discriminations qui en découlent furent citées aussi bien à titre individuel que collectif. Les médias pour leur compte et leur façon de traiter l’information ont fait l’objet de commentaires pas toujours exempt de critiques. A ce titre et à l’approche de mes 80 ans, j’ai pris l’entrée du bureau de vote à contre sens. Heureusement j’étais à pied (pas sur l’autoroute) et il n’y a pas eu de victime N.D.L.R.(1).
Participer au café citoyen c’est déjà, pour certain(e)(s), une démarche permettant d’écouter l’autre sans le juger. C’est, pour ces derniers un petit début vers l’objectif de non-discrimination. Pour d’autres participants ça reste difficile de ne pas porter une appréciation critique sur certains individus qui ne font pas d’effort pour s’intégrer dans la société dont ils veulent profiter.
Selon une acception positive de ce substantif, la discrimination peut s’avérer nécessaire en cas de danger même si elle est à proscrire en situation normale. Elle peut aussi imposer le recrutement privilégié (certaines écoles supérieures, emploi, politique) de populations habituellement délaissées (handicap physique, social ou sexuel) N.D.L.R.(2)
Avant de clore la séance, une discussion sur la continuité de l’action “Café citoyen” a permis de trouver un accord pour l’exercice 2022-2023. L’équipe d’animateur sera composée de Arlette, Marinette, Yannick en tant que bénévoles et de Valérie comme référente de l’association. La programmation et le premier terme de l’exercice feront l’objet d’une réunion de la nouvelle équipe
N.D.L.R.(1) La rédaction, dans son souci de fidéliser ses lecteurs, est conduite à cette personnalisation, hors sujet (ou pas), comme tout autre média
N.D.L.R.(2) La rédaction tient à préciser que le terme handicap n’est pas associé au terme social et en encore au terme sexuel.
J’ai noté parmi les effets positifs de la catégorisation
(de votre part pour les éloges et de la mienne pour les recevoir),
que je suis sensible à vos compliments
“moments de partage privilégiés - animation cordiale - engagement et humour” dans le cadre d’une action que je suis, moi aussi, très fier d’avoir conduit à vos côtés.
Je vous remercie de vos appréciations et j’en profite pour mettre à jour le site avec les photos du 3 juin diffusées sans aucune catégorisation ou discrimination. S'il n’y a aucune personne de couleur, ce n’est pas du racisme c’est qu’il n’était pas là.
Le compte rendu viendra dans quelques jours.




Rencontre du vendredi 3 juin à la Chrysalide à 19h 45 débat sur le thème
“Peut-on percevoir l’autre sans le mettre dans une catégorie, ce qui est en soi discriminant”.
Stéréotypes – discrimination – relations préférentielles – intergroupes – racisme et autre altérité, l’humain est naturellement tenté de catégoriser l’autre.
Comme le montre, en 3 mn, avec un peu d’humour et beaucoup de médisance, la vidéo jointe (accessible en cliquant ci-contre sur le chat de Geluck) sur la façon de voir, par certains, notre pays, notre sujet de la soirée pose une question intéressante.



Peut-on vivre seul ?
Notre rencontre de février n’a pas fait l’objet du compte rendu traditionnel. Cela s’explique simplement par le fait que, malgré le thème, aucun participant ne s’est porté bénévole pour faire ce dernier.
Pour ce premier avril, seul, pour respecter le thème et parmi les neuf participants, j’ai réussi à prendre quelques notes et je m’inscris de nouveau dans le bénévolat pour ce compte rendu de réunion.
Je prouve au passage que (si l’on ne peut vivre seul) on peut rédiger seul, même si le rédacteur (votre serviteur) sollicite une relecture de contrôle pour éviter les dérives inopportunes et les hors sujets.
Guy a ouvert ce débat en rappelant que l’humain est fait pour vivre en société. Même Tarzan, avait des rapports avec différents animaux et il a fini par trouver une compagne. Le “vivre seul” doit s’entendre dans un sens de partage social avec le refus ou la recherche d’échange avec les autres.
Etant admis que l’humain ne peut devenir adulte que s’il est entouré des parents, tuteurs ou amis, le débat s’est dirigé naturellement vers les choix de vie d’un engagement de rapport à l’autre plus ou moins important. L’ermite qui souhaite vivre libre de tous rapport à l’autre peut, néanmoins, y trouver un bien-être et une harmonie de bon aloi.
Les propos tenus permettent de situer les conditions d’acceptation personnelle, comme facteur important du ressentis associé à la solitude.
Elle peut ainsi être subie ou choisie. Si elle est imposée (par les évènements de type séparation, décès, maladie, confinement) elle devient douloureuse contrairement à liberté recherchée dans le non-conformisme sociétal. Entre la punition extrême de l’isolement pénitentiaire, le simple besoin de tranquillité ou celui d’avoir un effet miroir dans le regard des autres, le sentiment est bien différent.
Le besoin d’être seul peut-être, pour un individu donné localisé dans le temps, voir dans l’espace et la situation. Ce qui me permet de terminer, par une page pub de la chrysalide, avec la citation d’une personne participante qui exprime simplement “ça dépend, j’aime être seule mais ici je me sens bien”.
Parmi les thèmes proposés pour le vendredi 3 juin, celui qui a reçu l’agrément des participants est : “Peut-on percevoir l’autre sans le mettre dans une catégorie, ce qui est en soi discriminant”






Rencontre du 1er avril 2022 entre 19h45 et 21h 30
sur le thème "peut-on vivre seul?"
La convivialité liée aux partages du dîner pris en commun
(lors d'une pause ou pas) est toujours au programme.
Un clic sur le poisson ci-contre vous conduira vers une chanson bien connue de Gilbert Bécaud qui affirme que
“la solitude ça n’existe pas”.
La programmation de notre rencontre ce vendredi 1 er avril me permet cette petite fantaisie pour vous proposer le thème du débat qui laisse entendre que la solitude existe bien.
Rencontre du 4 février entre 19h46 et 21h 30
sur le bénévolat
La convivialité liée aux partages du dîner pris en commun (lors d'une pause ou pas) est toujours au programme.
Un clic ici ou ci-avant conduit vers une vidéo de Muriel Robin au théâtre de Bouvard
Débat du 5 novembre sur “être libre en démocratie en période de crise sanitaire”
Après avoir remercié les participants de leur présence, les animateurs habituels ont présenté les excuses de quelques absents qui ont exprimés leur regret de ne pas être parmi nous.
En cliquant ici, un lien vous dirigera vers les deux textes transmis en tant que participation par courriel à ce débat
En cliquant sur images ci-dessus un lien vous dirigera vers les deux textes transmis en tant que participation par courriel à ce débat. Il est à noter que les contraintes imposées par la crise sanitaire ont privé l’une de ces deux personnes de ce débat (refus de la vaccination et absence du passe sanitaire liberticide).
Les huit participants ont apprécié de se retrouver avec la dimension conviviale qui a contribué au succès de l’opération.
L’ouverture du débat s’est faite avec la lecture d’un texte transmis par une personne excusée. Les propos échangés entre les participants furent variés sans être exhaustifs. Les aspects philosophiques furent exclus au profit des notions de droit et de morale (devoir) plus conforme avec l’esprit citoyen de notre café.
Pour certains la liberté à prendre en compte et celle de la globalité des individus. Elle peut alors légitimer des restrictions de liberté individuelle.
Les informations des médias, relais des décideurs politiques, fait penser, à d’autres participants, à de l’endoctrinement. Cela leur permet d’exprimer des doutes sur la fiabilité des données transmises.
Il est constaté d’autre part que les contradictions (ordre et contre ordre sur le port du masque par exemple) furent nombreuses. Les scientifiques se sont discrédités par des annonces fruit d’une expérience inexistante et totalement absente au niveau locale et mondiale pour les mentalités du monde occidentale du 21 ème siècle.
Un recadrage fut nécessité par une discussion hors sujet "déviation des participants vers la dimension médicale" conduisant le débat loin du sujet d’origine.
L’Allemagne et la France, comme les autres pays ont choisi des actions avec des conceptions très différentes de la liberté et des contraintes. Néanmoins, elles conduisaient toutes à réduire cette dernière d’une façon ou d’une autre( Atitre d’exemple, Israël impose le vaccin à tous dès sa mise à disposition, la Suède n’impose pas le port du masque et n’a pas confiné mais elle conseille d’adopter un comportement citoyen sans exiger le passeport vaccinal)
Le thème retenu pour la prochaine rencontre fut choisi démocratiquement parmi les trois thèmes proposés (Peut-on encore sauver la planète ? Les voitures électriques sont-elles aussi “écolos” qu’on le prétend ? -L’engagement bénévole. L’adhésion de la majorité des présents a été en faveur de ce dernier sujet.
Pour mémoire la prochaine rencontre aura lieu à partir de 19h 45 le premier vendredi du mois de février 2022.
Nous avons plaisir à vous faire savoir que le vendredi 5 novembre 19h45, notre café citoyen est en mesure de vous accueillir dans des conditions proches de celles d'avant la crise sanitaire.
La convivialité liée aux partages du dîner pris en commun (lors d'une pause ou pas) est à nouveau au programme.
Le thème des échanges librement choisi de façon unilatérale par les animateurs sera
"Être libre dans une démocratie en période de Covid".
Ce sujet est très sérieux, je m'autorise néanmoins à prendre exceptionnellement mon parti, en souvenir de Pierre DAC et Françis Blanche le parti d'en rire.
Je dépose, en conséquence une vidéo humoristique de 5mn sur la dictature sanitaire vu par Thomas Wiesel, humoriste suisse.
Le débat, sans doute moins clivant que celui sur la ou le nutella, pourra porter sur les aspects du droit et de la morale (cette dernière étant illustrée par la citation qui suit) “Etre libre, ce n'est pas seulement se débarrasser de ses chaînes ; c'est vivre d'une façon qui respecte et renforce la liberté des autres. ” Nelson Mandela.

Le café citoyen c'est, dans les valeurs de base des centres sociaux culturels
la dignité humaine par l'écoute et respect de chacun dans les débats ...
